Depuis Avril 2012, l'Académie Culinaire de la Coquille St Jacques n'est plus adhérente à l'Ambassade.

Réunion hippique :
(inscriptions auprès de l'Académie Culinaire de la Coquille St Jacques)

Voir le reportage complet sur le site de l'Académie Culinaire de la Coquille St Jacques, partie "Evénements > 2008 > 16 novembre 2008" , lien : http://coquille.stjacques.free.fr  ou lien direct

Photos souvenir
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Les Confréries dans la Course
Dimanche 16 Novembre 2008 à 11H00
Hippodrome de Nantes (Le Petit Port)

www.hipponantes-courses.com

Participation en tenue avec 8 confréries locales

11H00 - Arrivée

11H45 - Apéritif offert par les Chevaliers Bret'Vins au restaurant

12H00 - Repas dans le restaurant panoramique du Petit Port

Menu :

Cassolette de St Jacques aux Petits légumes
Magret de Canard à la fondue d'ail
Assiette de fromage et sa salade verte
Emotion Crème brûlée
Café

Vins :

Muscadet Cuvée de l'Académie (Pipette d'Or)
La Cuvée des Raisvins - Méthode traditionnelle  Gilbert Bossard
Eaux minérales

Programme des Courses

13h30 - Prix de la Confrérie Gastronomique - Andouillette au Layon
Course de galop pour 2 ans sur 1600m
14 000 € de prix

14h00 - Prix de la Confrérie des Buveux de Bernache de Mazé
Course de galop pour 2 ans sur 1600m
15 000 € de prix

14h30 - Prix de la Confrérie des Raisvins
Course de galop pour 3 ans sur 2400m
14 000 € de prix

15h00 - Prix de la Confrérie des Panses à Oie
Course de galop pour 4 ans et plus sur 2400m
13 000 € de prix

15h30 - Prix de la Confrérie de la Fouasse du Vignoble Nantais
Course de haies pour 4 ans sur 3500m
17 000 € de prix

16h00 - Prix de l'Académie de la Coquille St Jacques
Steeple-chase pour 4 ans sur 3800m
17 000 € de prix

16h30 - Prix de l'Académie du Châteaubriant
Steeple-chase pour 5 ans et plus sur 4300m
16 000 € de prix

17h00 - Prix de l'Ordre des Chevaliers Bretvins
Steeple-chase pour 3 ans et plus sur 3800m
14 000 €


Avec le "Digue Bazar Compagnie", la tradition Nouvelle Orléans

Chapitre de la
Confrérie de la Fouasse du Vignoble Nantais
à St Fiacre sur Maine et Château-Thébaud (44)

Samedi 15 Novembre 2008    

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Voir les 53 photos sur le site de la Confrérie Gastronomique - Andouillette au Layon :

Une réunion du CA s'est tenue le jeudi 30 octobre 2008 à St Georges sur Loire.
Un compte rendu détaillé de cette réunion a ensuite été envoyé à tous les membres du CA.

XXVIIème Chapitre de la Confrérie des Buveux de Bernache
Samedi 11 Octobre 2008 - Mazé (49)
www.buveuxdebernache.eu

Menu :

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Invitation :

Depuis Avril 2012, l'Académie Culinaire de la Coquille St Jacques n'est plus adhérente à l'Ambassade.

http://coquille.stjacques.free.fr

Chapitre de la Confrérie des Panses à Oie
Le samedi 6 septembre 2008 à Soudan (44)

Vous pourrez voir l'article sur le site de "Chateaubriant Actualités"



www.paysdechateaubriant.fr

Lien direct de l'article :

- Samedi 6 septembre :         Chapitre de la Confrérie des Panses à Oie
- Samedi 13 septembre  :      Vendanges des Vignes du Bouffay (Nantes)
- Samedi 11 octobre  :            Chapitre de la Confrérie des Buveux de Bernache
- Samedi 15 novembre  :       Chapitre de la Confrérie de la Fouasse du Vignoble Nantais
- Dimanche 16 novembre  : Les Confréries dans la Course (Hippodrome de Nantes)
- Samedi 22 novembre  :      Chapitre de l'Académie du Châteaubriant
- Samedi 29novembre  :       Chapitre de l'Ordre National des Gastronomes Barbus et Moustachus

L'écusson retenu pour l'Ambassade, en tenant compte des derniers avis :

Le site Internet de l'Ambassade, après avoir été ouvert début juillet, pour réserver l'adresse, est maintenant totalement terminé et mis en ligne.

Le site comporte un bandeau supérieur fixe et une partie mobile où sont appelées les différentes pages.

La partie mobile comprend :
- une page d'accueil (avec les adresses de contact de l'Ambassade)
- une page pour les statuts
- une page où sont présentées les Confréries de l'Ambassade
- une page "information" sous forme de blog où seront mises en ligne les différentes infos
- une page de liens
- une page "Trombinoscope" accessible depuis les statuts ou la page d'accueil

Parution au Journal Officiel de la création de l'Ambassade. JO - Associations - du 2 août 2008 / n° 770 /page 3751

voici le lien direct pour retrouver l'annonce sur le site du Journal Officiel :

http://www.journal-officiel.gouv.fr/association/index.php?ACTION=Rechercher&HI_PAGE=1&HI_COMPTEUR=0&original_method=get&WHAT=ambassade&JTH_ID=&JAN_BD_CP=&JRE_ID=Pays-de-la-Loire%2FMaine-et-Loire&JAN_LIEU_DECL=&JTY_ID=&JTY_WALDEC=&JPA_D_D=02%2F08%2F2008&JPA_D_F=02%2F08%2F2008&rechercher.x=24&rechercher.y=11&rechercher=Rechercher

Après délibération lors de la réunion du 30 juillet et après accord du Conseil Régional pour l'utilisation de leur logo (courrier du 1er août), le logo retenu pour l'Ambassade est le suivant :

Une réunion du CA s'est tenue le mercredi 30 juillet à St Georges sur Loire.
Toutes les Confréries membres de l'Ambassade y étaient représentées.
Un compte rendu détaillé de cette réunion a ensuite (ndlr : courant le mois d'août) été envoyé à tous les membres du CA.

Photos :

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Un trombinoscope des membres de l'Ambassade présents a été réalisé et est consultable sur le site, lien présent sur la page d'accueil ou sinon cliquez ici pour y accéder

Article paru le 23 juillet 2008 sur maville.com (lien)

Actualités - Angers 

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 L'échalote d'Anjou réclame son label

Aldona Miguel a expliqué les différences fondamentales entre l'échalote traditionnelle et l'échalote de semis..

Face à la concurrence de l'échalote de semis, les producteurs locaux veulent obtenir une appellation d'origine contrôlée.

L'énorme échalote qui trônait, dimanche, à la fête de Chemellier, était un leurre. « Ça, c'est l'échalote OGM, EPO, hormone de croissance. Tout ce que vous voulez sauf la nôtre », s'est esclaffé Jacky Bréchet, grand archiviste de la Confrérie des amis de l'échalote d'Anjou.

Tout un symbole à l'heure où lui et ses amis de la coopérative Fleuron d'Anjou revendiquent une indication géographique protégée (IGP). « Le nom de l'Anjou doit être associé à l'échalote traditionnelle, réclame Jacky Bréchet. Il en va de la protection de ce patrimoine cultural et culturel comme de l'intérêt du consommateur. C'est l'assurance de faire la distinction avec l'échalote de semis, sorte d'oignon déguisé dans la plupart des cas. »

Cette distinction est effective depuis janvier 2007 et la publication d'un arrêté de commercialisation français. Mais, l'internationalisation des échanges et la concurrence farouche des industriels de l'oignon, néerlandais notamment, inquiètent les professionnels d'Anjou : « Nos quarante exploitations représentent quand même 10 % de la production française, soit près de 4 000 tonnes d'échalotes. En inondant le marché avec leurs échalotes de semis, les Néerlandais cassent les prix et mettent en péril notre savoir-faire », alerte Jacky Bréchet.

La différence fondamentale entre l'échalote traditionnelle et l'échalote de semis repose sur le mode de production. La première se cultive manuellement, à partir d'un bulbe qui donne naissance à une touffe de bulbes fils identiques. Sa forme ressemble à celle d'un croissant. La présence d'un durillon à sa base matérialise son caractère traditionnel. Quant à sa valeur gustative, elle est beaucoup plus prononcée que celle de sa concurrente. Forcément, son prix est en rapport avec la main-d'oeuvre abondante qu'elle nécessite. « C'est la contre-partie de notre travail. Mais, au moins nous nous battons pour la défense de la gastronomie ! », insiste Jacky Bréchet.

En attendant l'obtention de cette appellation d'origine contrôlée, Fleuron d'Anjou a opéré un rapprochement avec les producteurs bretons : « Avec eux, on milite pour décrocher le label européen « spécialité traditionnelle garantie ». Pour peser davantage au niveau international. »

Julien RENON.

Ouest-France

Le site de l'Ambassade Régionale des Produits du Terroir et du Goût - Région Pays de la Loire, est ouvert.

L'adresse [ http://confreries.paysloire.free.fr ] ayant été réservée.

Prochainement, le site sera complètement mis en forme.

Organisée par le Comité des fêtes de Brissac-Quincé,
la 38ème Rillaudée aura lieu les 5 et 6 juillet 2008.

Lien sur le site de "Loire-Aubance.fr"

www.loire-aubance.fr

Lors d'une réunion s'étant déroulée le mercredi 25 juin 2008 à St Georges sur Loire avec des représentants de 10 Confréries, l'Ambassade Régionale des Produits du Terroir et du Goût a été officiellement créée.
Les statuts ont été établis et vont être déposés en Préfecture. Ils sont consultables directement sur le site Internet de l'Ambassade.

Article paru le 21 avril 2008 sur maville.com (lien)

Actualités - Angers 

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 Roselyne Bachelot en héraut du bon pain

Roselyne Bachelot : « Le bon pain se mange tout seul, mais parfois aussi avec un peu de rillettes. Surtout quand le Premier ministre est François Fillon. »..

Devant des dizaines de toqués de la bonne chère, la ministre a elle aussi promis de promouvoir le pain, qui est forcément bon... pour la santé !

Coiffés, empanachés et capés, des dizaines d'émissaires de la bonne chère ont défilé aux Greniers Saint-Jean, à Angers, dimanche midi. Les noms de ces confréries sont déjà tout un poème. Les chevaliers de la bonne humeur n'ont rien à envier à ceux du pont-l'évêque ou à ceux de la confrérie de la canette des vignerons du Nord Deux-Sèvres. Et que dire de la confrérie des tripaphages, de celle du pâté aux pommes de terre du Bourbonnais, de celle de l'os à moelle ou de l'ordre des Kuulkappers (coupeurs de choux) !

Les membres de ces éminentes institutions de la France entière étaient réunis pour le 22e grand chapitre de la commanderie de France des Talmeliers du bon pain.

C'est sous leurs yeux que l'Angevine Roselyne Bachelot a été intronisée « Grand ambassadeur du pain de France », une distinction décernée pour la première fois. C'est que la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports est déjà chevalier depuis 1994.

« Si l'on fait un parallèle avec votre ministère, il faut d'abord évoquer la santé. Le pain est essentiel pour l'équilibre nutritionnel, a souligné Roland Briodeau, le grand maître. Pour la jeunesse, le croûton de pain reste une valeur sûre des plus petits, dont les dents poussent, et des enfants lors du goûter ! Et puis, le pain est bon pour les sportifs grâce à ses sucres à digestion lente ! »

Après avoir dégusté le pain, le vin et prêté serment, Roselyne Bachelot a le plus sérieusement du monde accepté sa mission.

Expliquant vouloir défendre « cette filière économique » et évoquant son « plan national nutrition santé » : « Je suis inquiète de l'augmentation de l'obésité en France et je lutte pour que les confiseries grasses et sucrées ne soient plus auprès des caisses des supermarchés, tentant les enfants. Le pain, lui, n'est ni trop gras ni trop sucré ! »

Ouest-France

Le Grand Maître et l’Equipage
De la Confrérie de la Sardine

... vous adressent leurs meilleurs vœux pour l’année 2008

Nous avons le plaisir de vous informer que notre prochain chapitre aura lieu
le samedi 18 octobre 2008

www.confreriedelasardine.com

Article paru sur le site Cholet.maville.com le 24/07/2006
http://www.cholet.maville.com/

« Toujours, je choisirai l'échalote d'Anjou ! »
 
Clément Préau, un ancien producteur, a été le premier intronisé de la jeune confrérie des amis de l'échalote d'Anjou. Il a passé, avec succès, la redoutable épreuve de dégustation de deux confits...
La jeune confrérie de l'échalote a procédé à ses 8 premières intronisations, dimanche, à Chemellier. Et pas seulement pour le folklore.
« Je jure que toujours, je choisirai, pour les meilleurs plats, l'échalote d'Anjou. Et que, sans concession, je me battrai contre ses imitations ! » Serment engagé, pour les 8 intronisés, hier après-midi. Avec le soutien du poète patoisant, Yvon Péan : « Ce n'est pas du petit folklore mais un vrai combat paysan du terroir. »

Les producteurs français, dont la cinquantaine d'Angevins, se trouvent confrontés « à la concurrence d'un semencier hollandais », rappelle Jacky Bréchet, responsable technique à la coopérative Fleuron d'Anjou.

Or l'échalote authentique est reconnue depuis 1997. Les Angevins veulent désormais décrocher une IGP, une indication géographique protégée, pour indiquer « échalote d'Anjou ». « Nous ne pouvons que gagner à augmenter notre notoriété locale. »

Le comité des fêtes de Chemellier a sauté sur l'occasion, pour relancer sa fête communale. « Nous avons deux producteurs au comité. Ils nous ont poussés. Et comme le thème de l'échalote n'était pas pris... » La présidente, Manuela Richard, ne peut que s'en féliciter : « Nous avons été débordés. Ce midi, nous avons manqué de bavettes à l'échalote. Nous avons dû refuser 150 personnes ! »

La foule encore, pour les fameuses intronisations, en fin d'après-midi, près du plan d'eau. Et applaudissements pour Clément Préau, Joseph Leroyer, Roger Licois, Anne Degueret, Roland Courtin, Marcel Gautier, Claude Leblanc et Yvon Péan, producteurs ou cadres de la coopérative, désormais grands défenseurs de l'échalote.

Non seulement ils ont dû prêter serment mais, en plus, déguster un confit d'échalote aux oranges et au cointreau, accompagné d'un verre d'aubance. Et un deuxième confit, au chenin et aux épices de Méditerranée, avec un verre de savennières. De quoi défendre, avec plus de vigueur encore, l'inimitable échalote d'Anjou !

Jean-Michel HANSEN. 

Extrait de la poésie d'Yvon Péan :

« Nous voulons sublimer un produit d'exception,
qui mérite, à nos yeux, hommage et dévotion.
Sans lui, l'onglet n'atteint point sa saveur parfaite,
pas plus que n'y parvient la plus tendre bavette.
Vous l'aurez tous compris : c'est la noble échalote
qu'il nous faut exalter face à la rumeur sotte
d'ignorants distingués ayant la prétention
de l'abaisser, dit-on, au rang de simple oignon !
Amis, c'est tout l'objet de notre confrérie :
Nous devons, en vertu du serment qui nous lie,
proclamer haut et loin que, pour les gens de goût,
rien ne peut égaler l'échalote d'Anjou !